Les cas d'inconfort persistants dans la zone intime sont souvent la conséquence d'une peau trop sèche, rugueuse et craquelée.  Elle réagit en provoquant des brûlures, des démangeaisons, des douleurs, des rougeurs ou des gonflements qui peuvent s'aggraver par manque de résistance aux stimuli externes.

Exemples :

📌        Stress mécanique liés à des vêtements trop moulants, des protège-slips, une position assise prolongée, le sport (vélo, équitation, etc.), les rapports sexuels, le rasage intime ou l'épilation à la cire.

📌        Contact avec des irritants chimiques tels que l’urine ou les selles, des produits d’hygiène intime inappropriés, du papier toilette parfumé etc.

 📌        Contact avec des agents pathogènes tels que champignons et bactéries qui peuvent proliférer dans le milieu chaud et humide de la zone intime.

Un manque de graisse dans la peau intime provoque une gêne dans cette zone

📌        La surface de la peau intime est structurée comme un mur de briques imperméable. Les cellules cornées densément tassées forment les briques et la substance intercellulaire compose le mortier. S’il en manque, l’architecture de la couche cornée est détruite. La médecine parle alors de barrière cutanée
perturbée.

📌        Un manque de graisse dans la couche cornée est reconnaissable par une peau intime sèche, rugueuse et craquelée qui perd sa résistance. Résultat : un inconfort handicapant au niveau de la zone intime.

✅  La pommade protectrice Deumavan® compense le manque de graisse de la peau intime sèche
et la protège des agressions extérieures. Elle atténue ainsi l’inconfort dans la zone intime jusqu’à la faire disparaître totalement

📌        En cas de prurit, douleurs, rougeurs et brûlures dans la région génitale, beaucoup de femmes pensent d'abord à une infection fongique du vagin. La plupart du temps, l'inflammation de la vulve n'a pourtant pas de causes infectieuses. 

📌        Pendant et après la ménopause, le manque d’hormones peut à lui seul déclencher des
problèmes intimes très désagréables. 

De nombreuses maladies chroniques peuvent également entraîner des prurits, des douleurs et des brûlures dans la zone génitale féminine. Quelques exemples ci-contre.

📌        Le lichen scléreux est une maladie auto-immune. 

📌        Il apparaît majoritairement sur la vulve et dans la région ano-génitale. Chez 90 % des femmes touchées, un prurit sévère est le principal problème.

📌        Il peut également apparaître sur la vulve et dans la région anogénitale une légère rougeur et un gonflement, des taches blanchâtres et des nodules jusqu’à de petites fissures. 

📌        Si la maladie n’est pas diagnostiquée et traitée tôt de manière ciblée, des conséquences graves sont possibles : atrophie des petites lèvres ainsi que cicatrisation et sclérose de la peau intime.

📌        Autres conséquences possibles : douleurs au cours des rapports sexuels ou de la vidange de la vessie et des intestins.

Vulvodynie ou douleur, brûlure et prurit sans cause connue

📌        La vulvodynie est associée à un prurit, une sensation de brûlure, de sécheresse ou de douleur sur la vulve. Des douleurs lancinantes peuvent aussi survenir sans raison ou lors de l'insertion d'un tampon ou pendant les rapports sexuels. Avant qu’un diagnostic ne soit posé, il peut s'écouler nombreuses années de souffrances. 

✅  Heureusement, la pommade Deumavan® peut soulager les femmes souffrant de vulvodynie.

📌        La médecine parle de balanite en cas d’inflammation du gland. Dans la plupart des cas, la surface interne du prépuce est affectée en même temps.

📌        Elle se reconnaît par un gland rougi et enflé, qui peut démanger, brûler voire suinter. Une éruption cutanée inégale sur le gland et un écoulement purulent de l’urètre
sont également possibles. 

📌        Si le prépuce ne peut pas être retracté ou qu’avec difficulté et douleur, il y a un phimosis. Une pathologie qui entraîne des problèmes d’érection voire
l'impuissance. De plus, il comporte un risque de balanite infectieuse récurrente. Un phimosis prononcé rend la miction difficile.

📌        Il existe différentes causes de phimosis à l’adolescence ou à l’âge adulte. Dans ce dernier cas, une maladie chronique comme le lichen scléreux, la maladie de Reiter ou le diabète sucré est généralement responsable. 

📌        La balanite peut laisser des cicatrices et un durcissement du prépuce qui peut favoriser le développement d'un phimosis, qui, lui-même augmente le risque de balanite.

📌        En cas de balanite infectieuse, le médecin prescrit un antibiotique ou un antimycosique selon l’agent pathogène. 

✅        Le phimosis est traité par un urologue qui recommandera la circoncision en cas de balanite. Dans
certains cas, l’application d’une pommade Deumavan® sous prescription médicale peut soulager le phimosis.

📌        Le canal anal d'environ 3 à 6 cm de long forme la dernière section du tube digestif. Il est situé entre le rectum et l’anus.

📌  Son réseau nerveux dense est capable de discerner les gaz des selles dures ou molles qui arrivent à l’anus.

📌  Ce qui explique pourquoi les maladies de la région anale comme la fissure anale ou les hémorroïdes peuvent être extrêmement douloureuses. 

📌 Elle se manifeste par une douleur intense, parfois lancinante ou brûlante pendant la défécation, qui peut perdurer des heures. Du sang rouge vif se trouve souvent sur les selles. Un prurit ou une sensation de brûlure à l’anus peuvent également indiquer une fissure anale.

📌 Une fissure anale aiguë survient généralement lors du passage de selles trop volumineuses qui étirent la peau du canal anal jusqu'à la déchirure. De nombreuses fissures anales aiguës guérissent d’elles-mêmes. 

📌 Dans le cas contraire, les personnes concernées se retrouvent souvent pris dans un cercle vicieux. A cause de la douleur, elles retardent leur passage aux toilettes, ce qui aggrave la fissure à la défécation suivante. 

📌 Des crampes des muscles du sphincter anal réduisent le flux sanguin et retardent la cicatrisation des plaies. La fissure anale aiguë peut alors évoluer vers une fissure
chronique.

📌 D’un point de vue hygiénique ou médical, il n’est pas nécessaire d’épiler la zone intime.

📌 Cependant si vous souhaitez le faire, il est important que la peau intime délicate soit sollicitée le moins possible au cours de l'opération.

📌 L’épilation à la cire ou au sucre arrache le poil avec sa racine. Il faut alors quelques semaines pour qu'il repousse, contrairement à l’effet à court terme du rasage intime. Mais elle plus douloureuse et peut générer des soucis.

📌 L’utilisation d’une crème dépilatoire peut provoquer des allergies ou des irritations cutanées dans lazone intime.

📌 Toutes les méthodes d’épilation
provoquent des micro-blessures superficielles de la peau intime qui endommage la barrière cutanée. Il peut en résulter des rougeurs, des démangeaisons et des brûlures. Aussi les papules, familièrement appelées boutons, proviennent d’une inflammation. La principale raison en est l’agent infectieux, le Staphylococcus aureus. 

📌 Les poils qui poussent sous la peau favorisent également l’apparition des papules. Les poils incarnés sont un résultat courant mais temporaire du rasage intime et des autres méthodes d’épilation.